Créations d'histoire

(à qui ?) 

(Moi !)

Une fois son repas chaud terminé, Sofia gagna le couloir. Elle regarda à droite puis à gauche. Ne sachant pas quel chemin prendre, elle partie sur a gauche. Arrivée au bout du couloir, une grande salle l'attendais. Elle était éclairée par des torches accrochées sur des pouters sur les côtés de la pièce, de tapisseries ornent les murs de pierres et d'une grande cheminée accompagnée d'un grand fauteuil de velour et de peaux de bêtes.

Elle s'assit dans l'un des fauteuils et c'est alors qu'un bruit étrange résonna dans le manoir. Mais elle s'endormit sur le fauteuil, emmitouflée dans sa couverture.

Le lendemain, le jour filtrait à travers les fenêtre encadrés de rideau de soie noir. Elle regarda la pièce, la même que celle de la veille mais il lui sembla que l'un des chandeliers n'était pas là... Enfin elle avait pas vraiment fais gaffe alors elle y prêta pas attention. Elle sorti de la pièce et à cette instant elle entendit ua bout du couloir un bruit de porte qui s'ouvre en grinçant ; le bruit venait de l'armoire... 

Elle se figea mais pas question d'avoir peut juste quand une armoire s'ouvre ! Elle s'approcha très doucement de l'armoire. La porte s'entrouvra mais pas asser pour qu'elle puisse voir ce qu'il y avait à l'intérieur... Son coeur battait dans sa poittrine tant elle avait peur de découvrir ce qu'il y avait. Elle approcha lentement sa main et ouvrit d'un seul coup la porte de l'armoire en grand...

Sofia ouvrit la porte et tomba...sur rien. Pourtant elle il devait forcercément il y avoir quelques choses. Mais elle préféra refermer. Mais c'est alors qu'elle referma qu'un courant frais vint lui caresser le visage. Elle bougea pas, pétrifiée. Une odeur lui chatouille les narines, une odeur d'animal. Elle se demanda si c'était pas dans le château mais sa paraissait venir du fond de l'armoire. Alors elle prit son courage et avança à tâtons, elle se souvenait à peux près du chemin. Au bout elle chercha le mur mais cette fois-ci le mur n'y était pas. Pourtant elle était sûr que c'était après... Elle continua d'avancer pour en avoir la certitude mais c'est alors qu'elle entendit un bruit sourd plus loin, dans le noir. 

Elle s'arrêta un instant en entendant le bruit mais elle se dit que que c'était quelque chose qui était tombé et c'était tou. Elle continua donc dans le noir, les mains en avant. Tout à coups juste à côté d'elle elle sentit qu'elque chose la froler. Elle s'écarta d'un bon, surprise mais elle se connia contre le mur d'à côté. Sofia s'imobilisa de frayeur en essayant d'imaginer ce qui avait pu la toucher. Comme elle n'entendait plus de bruits, elle se dit que c'était une souris ou un autre petit animal.

Elle continua d'avancer dans le noir en se demandant où pouvais bien se trouver le mur. Soudian elle entendis un cri d'effroi. Mais ce n'était pas elle. Elle n'avait même pas ouvert la bouche. Ce pourait-il qu'il y ai quelqu'un d'autre ici ? ...

Sofia s'immobilisa, un souffle froid caressa de nouveau sa peau mais cette fois elle en frissonna.

-"Y'a quelqu'un" demanda t-elle. Après quelques secondes une voix fébrile et déssercher lui répondit :

-"Il est là...". Le sang de Sofia se glaça, peu importe ce que c'était ni de quoi elle parlait mais elle le sentait pas cette histoire. Elle toucha du bout des doigts un truc froid comme des chaînes. Elle devina que la personne était enchaîné.

Elle eu un mouvement de recul ; une personne quelle qu'elle soit était ici et personne ne savait de puis combien de temps. Sofia prit son courage à deux mains et demanda en direction des chaînes :

- Qui est là ?

(Je revien vers 18h désolée Lulune...)

Cette fois-ci la personne répondit pascmais elle savait que la personne était encore là car la respiration de cette dernière était saccadé et sifflante. Après quelques instants la personne dit d'une voix faible et errayer :

-"Le démon...". Sa lui glaça le sang mais elle se demandait si la personne ne délirait pas. 

Sofia eu un petit mouvement de recul malgré elle. Cette personne délirait surement... Et elle semblait abitué à la pénombre se qui signifiait sans doute que la personne était là depuis un bon moment. Quel "démon" ? Peut-être que le fait d'être tout seul dans le noir lui avait fait tourner la tête au poin d'imaginer des choses qui n'existaient pas. Elle pencha la tête sur le côté et demanda à la personne ou la chose qui était étachée devant elle pour la tester et voir si elle était vraiment dans un délire ou pas vraiment.

- Quel démon ? dit-elle d'une voix assurée.